Facultatif, vous pouvez nous l'expliquer dans vos rp et journal.
D'au dessus les nuages, je raconterais ce que je vis.

Chapitre 1: Une lumière sur un plateau d'argent.

Il était une fois...
Dans une forêt clairsemée aux arbres feuillus et verdoyant, où les proies abondées, vivait une grande famille de loups dont la mère attendait sa troisième portée. La mère reposait tranquillement dans une tanière large et confortable. Puis la première contractions se présenta. Elle appela doucement son compagnon, laissant les autres enfants continuer de jouer et chasser.Quelques minutes passèrent et le premier louveteau sortit. 2 autres le suivirent et une heure plus tard, ils étaient propre et déjà en train de téter. Mais... Tous? Non. L'un deux ne bougeait quasiment pas. Il peiner a bouger et se traînait dans la poussière, ne sachant où aller. Les parents s’inquiétèrent et décidèrent, pour éviter les fausses idées d'un enfant malade ou handicapé, l'abandonnèrent dans la forêt, entre une clairière et une rivière.  La pauvre loupiote, car c'étais une femelle au pelage brun et noir, était encore plus seule et désorientée sans l'odeur de sa mère. Elle pataugea quelques instant dans la boue et fini par tomber dans l'eau de la rivière, l'emportant vers des chutes d'eau. La pauvre petite bête s'agitait mais elle n'y pouvait rien, elle ne comprenait pas, ne voyait ni n'entendait rien. Elle allait juste ressentir le petit pincement de la mort l'emportant a travers les flots...
Mais une bonne étoile veillait sur la jeune louve et lui apporta une lumière posée sur un plateau d'argent. Cette étoile venait de défier les dieux eux- même, permettant à la nature de faire un nouveau miracle; la jeune louve fut sauvée par une mère ourse, venant de perdre ses petits. Elle l'attrapa avec sa grosse patte et la déposa sur un petit tapis de mousse. De sa truffe, elle massa le ventre de la rescapée, lui dégageant les poumons et lui permettant de respirer. La loupiote repris son souffle et avala de grandes goulées d'air. La mère ourse se prit d'affection pour cette boule de poil et la prit pour fille.

Chapitre: Un désastre attendu mais douloureux.    

Le jour se lève sur la tanière de l'ourse et de notre jeune louve, devenue maintenant une belle louve aux abords de la vie d'adulte. Ses journée se répétait tranquillement: le matin elle allait chasser car sa "mère" commençait à peiner à se déplacer. Le midi elle aidait sa mère pour les tâches du quotidien. L'après- midi, elle s'occupait du territoire, marquait les frontière et vérifiait l'état des lieux. Le soir elle s'occupait de camoufler la tanière, au cas où.
Mais ce matin là, sa vie allait, une seconde fois, basculée. Elle chassait, comme à son habitude, juste à côté de la grotte. En vue un petit daim, qui allait probablement y passer; pas assez attentif. Elle prépara ses appuis, compta quelques secondes dans sa tête et bondit agilement sur sa proie. Mais un grognement la déconcentra, elle détourna les yeux et atterrit à côté de sa proie, qui fila dans les buissons sans demander son reste. Le grognement venait de sa mère, qui tentait de l'appeler. La jeune louve s'élança sur le sentier noueux menant à sa tanière. L'ourse l'attendait, couchée là, se préparant à pousser son dernier râle. La chasseuse se jeta sur sa mère  et poussa de petits gémissement. Ce fut un grondement signifiant que le dernier soupire venait d'être poussé. Ce moment, la louve savait qu'il arrivera un jour mais elle venait d'être lâchée une seconde fois dans la nature sans aide. Elle s'occupa du cadavre de l'ourse, l'enterra et resta un moment sur sa tombe avant de partir en quête d'un nouveau territoire, celui- ci lui rappelant trop de souvenirs. Elle voyagea longtemps et découvrit un jour un nouveau territoire.

Chapitre 3: Un désir de vengeance.

La jeune louve hésita longtemps à posa patte sur ce nouveau territoire. Un jour où elle se sentit prête à franchir la frontière elle croisa, sur le chemin, un solitaire qui semblait avoir aussi choisit ce territoire.
"- Quel est ton nom, jeune louve?"
"- Un... nom?
Il était vrai qu'elle n'avais jamais eu de nom. N'ayant jamais connue sa mère louve et ne parlant pas la langue des ours, elle n'avait jamais eu de véritable nom. Elle resta un moment, comme si elle avait eu un dé-clique.
Adieu... Azula... Je suis désolée...
Cette voix qui résonnait dans sa tête, elle la connaissait mais ne savait dire de qui elle venait. Sa mère ours? Elle ne le pensait pas. Sa vraie mère? C'était fort possible. Le solitaire la regardait comme s'il avait vu un fantôme.
"- Ha, mon nom, heu... désolée! Je m'appelle Azula, et vous?"
"- Cela fait un moment qu'on ne m'a pas appeler, et tu n'as pas besoin de le savoir. Que fais-tu ici? Où cours- tu comme cela?"
"- Je cour me faire une nouvelle vie pour effacer mon passé."
"- Un passé est un passé, il n'a nul besoin d'être effacé."
"- Ne m'agace pas, si je souhaite oublier, alors j'oublierais!"
Azula quitta le solitaire, agacée. Elle l'abandonna sur le chemin et passa la frontière d'un pas décider. Ses expressions changèrent. Elle perdit ses expressions et le sérieux ne quitta plus son visage et ses paroles...