Sujet: Journée blanche ==>> Libre Sam 23 Aoû - 14:37
xX J0urnée blanche Xx Libre
Alors que les nombreuse branches des pins, qui fleurissais en masse en la foret neige, semblais crouler sous le poids de la neige fraichement tombée. Une silhouette claire et discrète filais le long des amonts de neige qui avait traverser la cime des arbres. Son allure féline et noble la rendais terriblement reconnaissable pour toute personne l'aillant déjà croiser. Tsiguane, jeune louve de 5 ans bien murie, semblais en balade de croisière. Sa queue hautement levée marquer sa détermination, mais ces yeux semblais balayer tout le reste de son personnage. Aux premières apparences, Tsiguane ressembler a toute ces jolie louve mature et mère. Mais en vérité il briller dans ces yeux une brillante mélodie de jolie sauvageaune.
La jeune louve blanche se stopas plus loin sur un amoncèlement de pierre blanche. Elle se hissât sans difficulté sur la plus élevée et fixas un long instant l'horizon entremêlé des bois de neige. Puis sans prévenir elle offris sa gueule sauvagement armé et poussa un long hurlement mielleux, qui fis longuement vibrer le font de sa fine gorge.
Une ombre furtive glisser sur la neige. Si vite, qu'on ne pouvait déterminer sa position. Si camoufler, qu'on nê percevait que ses traces, son ombre. Si silencieuse que l'on entendait que sa respiration. L'ombre s'arrêta. Blanche. Elle remprit sa course, sa course pour la vie. Elle saute par dessus un tronc tombé, foudroyer pas la foudre. Mince, élancée. Elle courrait toujours plus loin, toujours plus vite. Les feuilles tremblaient sur son passage, il s'arrête, et pousse un hurlement. Un hurlement... Sa fourure dansant au grès du vent froid, sa musclulature mince et élancée, son hurlement. Un loup. Un loup blanc. Un loup blanc chassant pour sa survie. La course de la vie.
Le loup blanc avançait à présent lentement, le museau au sol, il sentait. Il sentait la présence de mulots, d'oiseau bravant le froid. Mais toutes ses proies l'importait peu. Il en avait sentit une autre, et plus rien ne vint le déranger. Un lièvre. Un gros lièvres. Il s'avança lentement, doucement, délicatement. Le lièvre leva ses oreilles. Toujours plus lentement et silencieusement, il avançait. Le lièvre jeter des regards appeurés. Il sauta. L'autre détala. La course, celle de la chasse, de dura pas longtemps. Et des machoires se refermère sur l'autre. Sur le lièvre détalant. Mort sur le coup. C'était une chasse fructueuse pour ce loup blanc. Mais c'était aussi la course de la vie. Mais c'était aussi la loie de la nature... Manger ou être manger...
Un long hurlement mielleux retentit. Le jeune loup blanc sourit, enporta sa proie dans sa gueule, et courrut jusqu'au hurlement. Sa dominante était là. Une jeune louve, blanche également. Le loup posa sa proie, et ouvrit les yeux. Ses yeux. Color, car telle était le nom de se loup, ne s'approcha pas de la dominante. Car c'était la dominante. Car il était froid et distant.
Tsiguane observas un instant le loup blanc arrivé une victime en gueule. Ces yeux vif ne le quittèrent pas un instant, elle l'avaient depuis un moment deviné, son odeur masculine lui avait chatouillée le net, sans bien sur en oublier celle du sang frais. Elle l'observas poser sa prois prait de lui, à une distance respectable de la dominante blanche. Mais pour Tsiguane, il n'y avait pas vrément de grade, elle n'était là huniquement en période difficile, quant il s'agissait de prendre des déssisions colective ou faire respecter des loies. Et a cette instant si seule le respect de son grade etait existant. Mais l'atitude de Tsiguane aurais était la même en Betas.
Elle se remis sur ces quatre pattes et envisageas de déssendre grassieusement de ces rochet, se qu'elle réussit a merveille. Une fois a terre elle s'approchas du nouveaux venus sans hésiter une seule seconde. Puis s'arretas à deux ou trois mètre du loup blanc. Elle posat sur lui ces yeux intéligent et sauvage.
>> Bonjours inconnus, tu fais face a Tsiguane ta soit disante dominante.
Elle lui décochat un légé sourire, qui était là plus en guise de bien venus que moqueur.
(désolé, internet ne marche plus souvent, orange "coupe" souvent... T.T)
Color regarda la dominante descendre. Gracieuse, elle n'eu aucune difficulter à exécuter son geste avec grâce et souplesse. Elle vint devant lui. Elle se présenta. Tsiguane. La dominante. Mais elle avait dit "sois disant" dominante. Pourquoi ?... Il s'inclina avec souplesse, et se présenta à son tour. - Enchanté. Je suis Color... Il détourna les yeux de la dominante, puis, finalement, recula de quelques foulées. Non par respect, ou était le respect ? Mais parce qu'il n'aimait pas le contact. Il fit rouler le lièvre au pied de Tsiguane, et s'alongea à Terre, en signe de soumission. - Pourquoi avoir dit "sois disant dominante", si cela n'est pas trop demander ?... Il se releva, gardant la queue basse.
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