facultatif, vous pouvez nous l'expliquez dans vos rp et journal.
Il est né ici, dans les terres des Hurricanes, par des parents de la meute. Il adorait écouter les anciens qui contaient les nouvelles des temps d'avant, il les dévoraient toutes et grandissait avec sagesse. Il aprenait avec les histoires les techniques du combat, et affutait ses sens grace aux conseils des anciens. Il n'était pas comme les autres louvetaux, lui passait la plupart de son temps avec les anciens. Il leur aportait de temps à autre à manger. Il s'apelait Anderson, car sa mère souhaitait qu'il devienne un vaillant guerrier et inutile pour cela de l'apeller "Croupignou", n'est ce point? Les anciens l'apelaient Andy. Vaillant, il devint peu à peu grand. Il se désinteressait des anciens, revenait les voir de moins en moins, et puis un jour, plus du tout. Les anciens s'ennuyaient mais comprenaient cependant le louveteau qui avait huit mois à l'époque : Il ne pouvait pas rester indéfiniment avec eux. Ils s'étaient bien amusés cependant. Passons, et reprenons le louveteau. Il devenait de plus en plus colosal comme son père, et il devenait de plus en plus beau. Puis l'impensable arriva. Sa mère était morte, et ses frères et soeurs par la même occasion. Comment? Personne ne le sait. Le louveteau alors agé d'un an se culpabilisa car il était la, mais se souvenait de rien. Sauf de quelques détails. Une ombre, du sang, des corps déchiquetés. Une ombre. Cette ombre, il la connaisait bien. Il ne savait pas qui c'était, mais au fond de lui, il la connaisait. Il le savait.
Son père lui apris à être un protecteur. Le loup s'était renfermé sur lui même. Il ne parlait plus, et ses yeux pétillantssemblaient éteinds. Depuis, plus jamais il n'y eut de sourire. Plus d'étincelle. Car il savait. Oui, il savait. C'était son père. Lors d'une leçon dehors, il le tua. De ses propres mains. Il tua un renard qui p=ne resista pas longtemps sur la rage du loup. Puis un deuxième. Et un troisième. Il mit longtemps, mais y parvint.Curieux hasard. Il pris du sang de son père, qu'il déposa sur les deux renards qui sont censés tué son père. Il se débrouilla pour que la scène fait croire que trois renards les ont attaqués, que deux ont tué son père, et que lui s'était battut contre un. Que lui avait survécu. Personne ne le soupsonna. Deux ans passèrent. Lui se sentait mal dans sa peau, sachant queson crime le hante la nuit. Le hante toujours dans sa tête. Il progressa dans la meute. Mais son histoire était loin d'être finie...